FAQ

La détention d’un permis français permet de circuler sur les routes du Québec pendant 6 mois consécutifs avec leur seul permis français, sous conditions de validité et d’adéquation avec la classe du véhicule qu’ils conduisent.
 
Si vous envisagez d’utiliser un permis de conduire étranger au Canada, vous devriez obtenir un permis de conduire international (IDP) dans votre pays d’origine . Un IDP vous remettra une traduction de votre permis en français et en anglais
Il convient de se procurer un permis de conduire local émis par l’autorité compétente (la SAAQ). Les autres catégories de permis (camion, moto, TC, etc…) ne sont pas échangeables avec le permis québécois.
La demande de permis québécois se fait directement auprès des autorités québécoises compétentes (la SAAQ).

Depuis le 22 janvier 2024, le gouvernement fédéral exige que les étudiants internationaux qui demandent un permis d’études fournissent une lettre d’attestation provinciale (PAL) d’une province ou d’un territoire avec leur demande , ajoutant ainsi un troisième niveau d’approbation (en plus de celui de l’établissement). et processus fédéraux).

Depuis le 30 avril 2024, les étudiants internationaux au Canada ne peuvent plus travailler plus de 20 heures par semaine hors campus pendant leurs études . Selon une étude du gouvernement canadien , 8 étudiants internationaux sur 10 travaillent actuellement plus de 20 heures par semaine.

 Les Bourses d’études au Canada d’Affaires mondiales Canada acceptent désormais les demandes pour l’année académique 2024-2025! Les bourses sont offertes aux étudiants internationaux souhaitant participer à des échanges de courte durée dans des établissements d’enseignement postsecondaire au Canada.

Début des inscriptions le 1er octobre 2024 et clôture des inscriptions le 28 février 2025. Consultez les procédures d’inscription détaillées et les textes de référence sur le site du Ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.

Les étudiants qui demandent un permis d’études canadien à compter du 1er janvier 2024 devront présenter une preuve de soutien financier suffisante pour répondre aux exigences révisées du coût de la vie . Gardez à l’esprit qu’en tant qu’étudiant international, vous n’avez pas besoin de verser ces fonds à IRCC ou à votre établissement universitaire.
 
À compter du 1er janvier 2024, les étudiants internationaux doivent répondre à une exigence de coût de la vie majorée de 20 635 CAD (auparavant 10 000 CAD), hors frais de scolarité . Au Québec, la preuve minimale de soutien financier est de 15 078 CAD, sauf pour les étudiants de moins de 18 ans, qui doivent justifier d’un accès à au moins 7 541 CAD.
Les étudiants internationaux au Canada ne pourront plus changer de collège ou d’université après leur arrivée au pays sans présenter une nouvelle demande de permis d’études . Ce changement garantit que les étudiants restent inscrits dans l’établissement pour lequel ils ont initialement obtenu un visa.

Session d’automne 2024 – du 2 septembre au 13 décembre (excluant la semaine d’examens prévue au calendrier)

Début de la session d’hiver 2024 – Du 15 janvier au 26 avril (excluant la semaine d’examens prévue au calendrier)

Votre permis d’études deviendra invalide 90 jours après la fin de vos études (même avant la date d’expiration de votre permis d’études) ou à la date d’expiration de votre permis d’études. Si vous n’avez pas demandé le rétablissement de votre permis d’études et que plus de 90 jours se sont écoulés depuis la date d’expiration, vous devez quitter le pays et demander un nouveau permis d’études auprès de votre pays de résidence/citoyenneté. Une interdiction de 6 mois peut être imposée sur votre nouvelle demande de permis d’études.Si vous prévoyez rester au Canada après vos études, assurez-vous de conserver un statut valide au Canada.

L’Ontario , la province la plus peuplée du Canada, accueille depuis longtemps le plus grand nombre d’étudiants internationaux au Canada, et sa part d’étudiants a augmenté. En 2021, elle accueillait 49 % du total, tandis qu’en 2023, elle en représentait 51 %. Cette croissance est due à la popularité des programmes collégiaux de l’Ontario auprès des étudiants internationaux.

Le trimestre d’hiver 2025 débute le lundi 13 janvier 2025. Nous vous conseillons d’arriver au Canada au plus tard le 8 janvier 2025.

Vous devez prouver que vous pouvez disposer d’un montant suffisant de fonds jusqu’au moment où vous y séjournez . Performance académique : Lorsque vous postulez pour un visa étudiant, vous devez disposer de crédits ou de scores académiques adéquats, comme mentionné par votre établissement d’enseignement et le gouvernement canadien pour obtenir l’approbation du visa.

 Le salaire minimum au Québec en 2024 sera de 15,75$/h, à compter du 1er mai 2024.

Il n’y a pas de limite maximale pour demander un visa étudiant au Canada. Vous pouvez présenter une nouvelle demande de visa étudiant après avoir été refusé à plusieurs reprises.

Si vous prenez un congé de plus de 150 jours , vous ne serez pas considéré comme « poursuivant activement des études » et devrez soit passer au statut de visiteur, soit quitter le Canada avant la fin des 150 jours et revenir reprendre vos études.

Tuteur et tutrice des différentes matières scolaires

L’entreprise Tutorax, par exemple, offre des salaires de 18 à 22$ de l’heure, avec possibilité d’augmentation, et promet des horaires flexibles à domicile et en ligne, partout au Québec.

Oui, vous pourrez peut-être amener votre époux ou conjoint de fait et vos enfants à charge avec vous au Canada . Ils peuvent être éligibles à un permis d’études ou de travail, ou à un visa de visiteur. Vous devez soumettre leurs demandes en ligne lorsque vous demandez votre permis d’études.

Autres permis

Les immigrants économiques peuvent venir au pays au moyen d’une variété de programmes, y compris les suivants : le Programme des travailleurs qualifiés (fédéral); le Programme des travailleurs de métiers spécialisés (fédéral); la catégorie de l’expérience canadienne.

“Cette mesure de facilitation ne sera plus prolongée , marquant un retour à la politique d’avant la pandémie selon laquelle une personne ne peut bénéficier que d’un seul PTPD au cours de sa vie.” Le gouvernement affirme que les personnes dont le PTPD expire en 2024 et qui souhaitent continuer à travailler au Canada peuvent demander tout autre type de permis de travail auquel elles sont admissibles.
Les domaines professionnels qui recrutent le plus au Canada en 2024
  • Adjoint administratif.
  • Associé aux ventes.
  • Planificateur.
  • Partenaires d’affaires en ressources humaines.
  • Coordinateur logistique.
  • Conseiller au service à la clientèle.
  • Responsable marketing.
  • Ingénieur mécanique.
Le Canada supprime la prolongation de 18 mois du permis de travail pour les étudiants internationaux ; L’exonération de travail de plus de 20 heures se poursuivra jusqu’en avril 2024.

Récemment, Immigration Canada a annoncé que les étudiants internationaux ne bénéficieront plus du permis de travail postuniversitaire (PGWP) . Auparavant, les étudiants qui suivaient un cours de deux ans pouvaient obtenir un permis de travail de trois ans, et ceux qui suivaient un cours d’un an pouvaient obtenir un permis de travail d’un an.

Vous pourriez être admissible à parrainer les membres de votre famille pour qu’ils deviennent résidents permanents afin qu’ils puissent vivre, étudier et travailler au Canada.

Si vous n’êtes pas resté au Canada pendant au moins 730 jours au cours des 5 dernières années, vous pouvez perdre votre statut de résident permanent.

Pour conserver votre statut de RP, vous devez avoir passé au moins 730 jours au Canada au cours des cinq dernières années. Il n’est pas nécessaire que ces 730 jours soient continus. Une partie du temps que vous avez passé à l’étranger peut compter aux fins des 730 jours dont vous avez besoin.

En vertu de l’interdiction, entrée en vigueur pour la première fois en 2023 et qui devait expirer en 2025, les gens qui n’ont pas la citoyenneté canadienne ou qui ne sont pas des résidents permanents et les entreprises commerciales ne sont pas autorisés à acheter une maison au pays.